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Le poème du sage aurige
Griffer, froisser les pages blanches
Incanter ces mots de grimoire
Fils de l'alambic à tiroirs
Epiphytes d'amphigouri
Dithyrambes d'ivre pythie
Promettant le fol hyménée
Aux seuls princes, tant adorés
Mène, aurige, ton attelage
De rimes ailées, de vers sages
Que ta plume soit élégante
Et pour mon âme, caressante
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