• Commandement de lumière

     

     

     

    Ardente alliance

    Ephémère embrasement

    Sang d'éternité

     


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  • Révolution d'octobre

     

    Soleil au cachot

    Complicité de ramures

    Saule pénitent


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  •  

     

     

     

    Sanglots de feuilles

    Consolation de larmes

    Chapelet divin

     

     


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  • Au mur de soleil

    Ombre de la nostalgie

    La dernière séance

     


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  • Avertissement:

    Ce petit texte, certes à tiroirs, reste commode à lire.

    Il relate la rencontre partiellement imaginaire avec une figure qui, peu ou prou a le vent en poupe ( et qui finira d'ailleurs par un dernier tangage à Bari).

     

                                                                             **********

     

    L'autre fois, j'ai bandé à Valon-pont-d'Arc

    Et tiré une "flèche" qui répondait au doux prénom d'Irène

    Irène du Mississippi

    Ancienne communiante très nature, elle me faisait la roue à aube du matin au soir

    Du coup...Pan ! Dans l'étang ou plutôt derrière

     

    Car quoi ?

     

    Tous mes moments de chaud lapin chasse-heures ne sont pas glorieux

    Au pays du vermeil, le dupeur de gazelles se doit d'être à l'heure

    L'heure monseigneur

    Des anneaux à offrir pour quitter le terrier 

    Et trotte vers la « Century Fox »

     

    - Arrête ton char !

     

    Charles tonne, il est le mari d'Irène

     

    Du Mississippi certes, mais dure comme une benne

    L'or dure mais aussi basculants que furent nos ébats

    Je fus recyclé, et nos très hauts ébats avec, dans un enclos

     

    Une vraie mise en boite !

     

    Depuis je songe au dormeur du val

    Arc-boutant des voûtes du ciel 

    Raide après la débandade de son armée

    Mais pour l'Eternité

     

    De quoi faire rêver Irène...

     

     

     

                                                                 *********

     

    Je dédie cette absurde et piquante histoire de flèche à  Bobby Lapointe.  

    Par voie de conséquence, je la dédie aussi à Blanche de Castille et Louis Aragon. 

    De très hauts personnages qui mériteraient de trôner dans la galerie des glaces, glaces qui ne sont par ailleurs ni de citron, ni de vanille.

     

     

     

     

     


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