• Il est dans la vie des blessures assassines.

    Renoncer à certains de nos rêves d'enfant est sûrement de celles-ci.
    Grandir n'est-il pas renoncer, s'élever au-dessus de la poussière, quand bien même notre singulière destinée nous conduit à y retourner ?

    J'ai croisé un inattendu visage de cosmonaute au détour d'une majestueuse plage médocaine.

    M'est alors revenu le souvenir du costume inspiré de l'épopée « Gémini », un habit de lumières à la démesure de l'imagination, mais devenu trop petit parce que tout bêtement, je grandissais.
    Ce présent de Noël qui devait augurer de mon futur dans les étoiles, continuait donc à défier l'espace et le temps !

    Des blessures assassines, j'en ai connues d'autres.
    J'ai parfois mordu la poussière.

    Le regard mystérieux au mur lézardé, la tristesse de cette aventurière d'une époque révolue ravivèrent la douleur de tous mes rêves blessés.
    Balafré comme son beau visage perdu de cosmonaute mélancolique.

    Un vaisseau spécial pour ma nostalgie des étoiles et de ses conquérantes.

     

    La cosmonaute mélancolique

    La cosmonaute mélancolique

    La cosmonaute mélancolique

     

    La cosmonaute mélancolique


    votre commentaire
  •  

    A quelques pas de la fameuse "Hig line", une ancienne voie ferrée de Manhattan, devenue lieu de promenade , je photographie ce gratte-ciel qui va bientôt s'élever et qui semble avoir saisi la Lune entre des fils invisibles. Comme un clin d'oeil nostalgique à celle qui fut tant convoitée, et que les américains ont "décroché" en juillet 1969. Un temps à présent lointain en ce mois de juillet 2015, pour une Amérique qui aime toujours cependant tutoyer le ciel et les étoiles. Un petit hommage pour l'épopée Apollo , à l'approche de la commémoration du premier pas sur la Lune. En musique, avec la parole des astronautes, de leur base, et celle du l'audacieux J.F. Kennedy ....


    votre commentaire

  • votre commentaire
  • ***


    votre commentaire
  •  

     

    J'observe sur moi ton regard

     Le coeur révélateur

     

    Quel est donc ce soupir la Lune ?

    Un secret caché dans les runes 

    L'envoûtement d'une blancheur

    Un désespoir tout de pâleur

     

    Le coeur révélateur  

    Au-dedans de tes monts obscurs

    Tous nos effrois dont tu n'as cure ?

     

    Le coeur révélateur

    Mais je sais que pourtant il bat !

    Ne craignant ni foudre, ni rats

    Dans l'âme du Pierrot sans peur

    Résonne sans répit ton coeur

     

    Le coeur révélateur


    6 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique